Unités

ReSIC : Centre de recherche en Information et Communication

Le ReSIC s'attache au champ vaste et polymorphe des sciences de l'information et de la communication. Les recherches qui y sont menées explorent, d'une part, les contenus, les fonctionnements et les évolutions, anciens et récents, des médias d'information et de la communication; elles portent, d'autre part, sur la communication organisationnelle, les relations publiques et le marketing, avec une attention particulière aux nouveaux outils et technologies et leur impact sur les dynamiques des réseaux. Un troisième axe réside dans l'analyse de l'utilisation de l'information numérique, de son organisation et de sa gestion dans les mécanismes de partage des connaissances, de conservation, de classement et de transmission des données.  Enfin, des recherches sont menées dans le domaine de la sémiotique générale et de la sémiologie du spectacle vivant, particulièrement la réception spectatorielle et les études des publics.  Investis dans plusieurs projets de recherche-action autour de la culture, des médias et des technologies, les chercheurs du ReSIC ancrent leurs travaux dans des échanges permanents avec la société civile, les milieux journalistiques professionnels, les organisations et les industries économiques et culturelles.

Projets

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Projets du CV

Sémiotique et médias

Cf 4e axe de ReSIC:
A partir de la sémiotique et dans un processus de réflexion sur l’interaction théorie/pratiques, cet axe entend interroger les formes et contenus médiatiques, au sens large, dans la société. Il propose d’explorer :
- les production, transmission, réception médiatiques,
- les contacts entre médias, l’intermédialité,
- les pratiques, y compris esthétiques, liées aux médias.
Les thématiques envisagées concernent entre autres les phénomènes de représentation (influence de la rhétorique de l’image, question du mensonge, de la fictionnalisation, de la vérité), les phénomènes de médiation(direct, présence, effet de présence, relation corps/numérique, formats transmédia), les environnements de réception (réseaux sociaux, installations médiatiques, expositions, processus de spectacularisation, mise en spectacle, vécu expérientiel des expositions, société du spectacle, etc.).

Approche sémiopragmatique des arts de la scène en général et de la danse contemporaine en particulier

Approche sémiopragmatique des arts de la scène en général et de la danse contemporaine en particulier, notamment dans ses rapports avec les autres arts, à d’autres époques et dans d’autres cultures :

- évolution du rôle de spectateur vers celui de specta(c)teur, co-auteur d’œuvres ouvertes (cf. U. Eco) ;
- modes de création et leurs influences sur les modes de réception ;
- relativisation du mode de réception intellectualisant (appétit sémiotisant occidental) par rapport à d’autres, comme la compréhension kinesthésique (neurones miroirs) et le rasaesthetics (R. Schechner) ;
- problématique de la transmission d’œuvres allographiques par excellence, où la sous-partition liée au processus créatif et au danseur nécessite un travail de recréation/ réactivation (perte d’information dans la simple imitation du mouvement sans intention);
- démocratisation culturelle, sensibilisation, école du spectateur, pratiques d’amateurs, médiation culturelle, politiques culturelles ; (recherches princiapelment menées au sein de TRANSFO: Research Centre for Social Change - Institut interfacultaire / ULB Charleroi)
- rapports entre danseurs réels, danseurs virtuels (projections, hologrammes, etc), danseurs mécaniques (robots) et spectateurs

Démocratisation culturelle

Membre de TRANSFO, institut interfacultaire ULB (basé à Charleroi) qui étudie les transformations sociales. Mes recherches s’inscrivent dans l’axe « changements démocratiques et gouvernance participative » notamment autour de questions liées aux projets culturels participatifs.
Sujets principaux: rapports entre la danse et la réception, influence des nouveaux processus de création sur les modélisations classiques, sociologie des publics, médiations, ...