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Computational Biology & Bioinformatics
Le contrôle des propriétés physico-chimiques et biologiques des protéines constitue un défi majeur dans tous les secteurs biotechnologiques. En effet, les protéines sont de plus en plus utilisées comme catalyseurs pour leur grande spécificité et performance dans la mise au point de bioprocédés respectueux de l’environnement. De plus, les protéines thérapeutiques, les anticorps monoclonaux et les vaccins protéiques constituent des systèmes clé du domaine biopharmaceutique. Grâce à l’essor de la bioinformatique structurale, il devient possible de concevoir rationnellement des molécules biologiques optimisées. Si les approches in silico ne peuvent conduire à des taux de succès idéaux étant donné la complexité extrême des systèmes biologiques, elles permettent néanmoins de proposer un nombre restreint de molécules candidates à valider expérimentalement, et dès lors de diminuer drastiquement le nombre d’expériences, avec comme effet positif une diminution des coûts, une réduction et un meilleur ciblage de l’expérimentation animale, et l’avènement d’une technologie globalement plus compatible avec le développement durable.
Le contrôle des propriétés physico-chimiques et biologiques des protéines constitue un défi majeur dans tous les secteurs biotechnologiques. En effet, les protéines sont de plus en plus utilisées comme catalyseurs pour leur grande spécificité et performance dans la mise au point de bioprocédés respectueux de l’environnement. De plus, les protéines thérapeutiques, les anticorps monoclonaux et les vaccins protéiques constituent des systèmes clé du domaine biopharmaceutique. Grâce à l’essor de la bioinformatique structurale, il devient possible de concevoir rationnellement des molécules biologiques optimisées. Si les approches in silico ne peuvent conduire à des taux de succès idéaux étant donné la complexité extrême des systèmes biologiques, elles permettent néanmoins de proposer un nombre restreint de molécules candidates à valider expérimentalement, et dès lors de diminuer drastiquement le nombre d’expériences, avec comme effet positif une diminution des coûts, une réduction et un meilleur ciblage de l’expérimentation animale, et l’avènement d’une technologie globalement plus compatible avec le développement durable.